Rp elfe (pour fofo)

*Daeron mange rapidement son dessert, une fois qu'il eu finit, Daeron se lève, prend l'assiette qu'il a mis de coté puis fait un salut vouté au noble elfe*
"Merci pour ce délicieux repas, je m'en vais dans mes quartier, je dois me remettre au travail, merci encore de votre hospitalitée"
*suite à ses mots, Daeron s'en a vers sa chambre*
*il passe la porte de sa chambre regarde si Sclavina est toujours endormis, il est surprit de la voir réveillé et en plutôt bonne santée.*
"Bien dormis ?"
*dit il avec son air sérieux tout en posant l'assiette qu'il a apporté sur le lit en posant les couverts non loin*

*Sclavina sursaute un instant en entendant quelqu'un entrer dans la chambre, mais elle se détend immédiatement en voyant qui est arrivé. Elle regarde l'assiette et les couverts, comprends, et reporte son regard sur l'elfe aux oreilles arrachées*

Sclavina : "Merci, Messire Daeron. J'ai eu le sommeil agité, mais sans plus."

*Elle approche sa main de l'assiette, la récupérant et prenant des couverts en même temps. Puis, après un léger instant d'hésitation, elle se lève pour manger, ne voulant pas abimer le lit. Elle hésitait a lui parler de la seule question qui la préoccupait. Devait-elle? Ne devait-elle pas? Finalement, elle se lanca.*

Sclavina : "Messire Daeron, comment c'est passé le repas? Je veux dire, a propos de ...."

*Elle n'osait plus continuer sa phrase*

"une triste nouvelle, le noble a disparut mais il ne faut pas s'inquiéter, tant qu'il ne sera pas retrouvé, rien ne sert de croire qu'il est mort, le repas était ma foi fort sympatique, le frère de notre hôte est bien plus serviable et appréciable que son frère"
*Daeron faisait exprès de ne pas mentionner le petit secret*
"et votre état, il se porte mieux "
*Daeron semble se rappeller d'une chose, il fait une tête ... pas triste mais pas jovial quand même, comme géné*
"Messire me vaut trop d'honneur, il ne m'est pas attribuable, Daeron me suffit emplement"

Sclavina : "Excusez moi, Messire Daeron... Daeron, pardon."

*Sclavina semblait presque vénérer Daeron désormais. Pourquoi? Personne ne le savait vraiment....*

Sclavina : "Un... un peu mieux."

*Elle tourna la tete vers les potions*

Sclavina : "Votre liquide a fait merveille... Je ne me suis jamais senti aussi bien depuis longtemps...."

*Daeron regarde les fioles*
"Le sérum n'est pas parfait mais pour le moment il suffira, j'ai encore du travail"
(on passe en mp ?)

(ok)

Dylan : « Vous voulez vraiment retrouver votre demi-soeur ? »


J'avais profité de l'absence de Daeron pour jouer à mon tour avec le noble qui nous avait invité à manger. Ma question était à double sens et je voulais mettre un peu de pression à l'elfe voir comme il réagirait et essayer de comprendre ce qu'il se passait réellement. Je lui laissai un temps de réponse, regardant son expression, essayant d'y déceler la moindre faille, le moindre indice qui pourrait m'amener à une conclusion. Puis finalement.

Dylan : « Oh pardonnez moi, j'ai mal formulé ma phrase. Je voulais dire seriez vous prêt à beaucoup pour la retrouver ? Vous n'aurez pas à vous inquiétez, j'imagine qu'elle vous manque beaucoup mais nous ferons en sorte de la retrouver rapidement. »

je mangeai lentement le dessert, toujours mon regard rivé vers lui à essayer de le démasquer si il était en quelques sortes impliqué. Puis cette discussion une fois finis je pourrais partir me promener et enquêter un peu ici.

Le faucon quitte momentanement l'épaule de Dylan.
Il deplois ses ailes et saute sur la table. Une fois atteris, il s'approche d'un plat de viande particulièrement gouteux et commence a prelever on beau morceau du plat, a l'aide de son bec et de ses serres.

Une fois cela fait, il ramène son butin a cater de Dylan et commence a l'engloutire, morceau par morceau.

Le noble observa Dylan d'un air mi supris mi amusé : "oh j'imagine que vous avez du parler avec mo frére , il est vrai qu'il ne porte pas ma demi-soeur dans son coeur ... cependant je ne me prénomme pas Filel et ma demi-soeur reste un memebre de ma famille. Je ne sais pas pour vous mais ma famille compte plus que tout " Tu pens sentir le léger enervement lors de la fin de la phrase.

Je fut surprit un instant, mais répondit avec calme et sang-froid tout en faisant semblant d'être mal à l'aise.

Dylan : "Vraiment excusez moi, je n'aurais pas du vous demandez ça, ou j'aurais du réfléchir à la construction de ma phrase avant, j'avais mal posé ma question et ce n'était pas très respectueux envers vous qui avez accepté de nous accueillir ici. Ce que je voulais c'est vous rassuré, nous la retrouverons j'en suis certains."

Il continua de manger son dessert tranquillement.

Dylan : "Néanmoins maintenant que le sujet est sur la table... Il y a conflit entre votre frère et votre demi-sœur?"

*Continue de manger, sans preter attention a la conversation.*

"Un conflit ? " l'elfe semblait mi-amusé mi-triste "Filel n'a pas de conflit qu'avec elle , il en a peu près avec tout ce qui refuse son autorité et tout ceux qui ne font pas partie de sa famille en fait mais je vous conjure de la retrouver , enfin partir ce soir ne servivrait à rien mais j'espere que vos recherches demain seront concluantes ". Vous pouvez sentir qu'il est sinérement inquiet et aussi qu'il semble un peu géné d'en parler ...comme s'il cachait quelque chose.

Dylan : "Je vois... Ce fut un agréable repas, puis je me permettre de me promener à l'intérieur de votre demeure un instant avant de repartir dans ma chambre?"

Cette histoire semblait être une simple affaire de famille, rien de bien compliqué en somme, si ce n'était que ça, alors cette mission ne devrait pas être si difficile, pas de grosse mauvaises surprises, pas de complot. Même avec notre équipe nous serions surement capable de nous occuper de cette tâche, finalement je ne m'étais inquiété pour rien.

" Evidemment , je vous laisse de nombreuses affaires réquirent , hélas , mon attention , je vous prie de passer mes salutations au reste de votre groupe " Le noble se léve suite à ces mots et pars par une porte ouvragé , vous laissant seul.
Init libre mais la nuit est quasiment tombé.

Le faucon a fini de manger, il est content;
Il pousse un petit cri de satisfactin avec de prendre son envole et d'attérire doucement sur l'épaule de Dylan.
Il se pose cnfortablement et semble somnomler.

Dylan : "Merci beaucoup, je n'y manquerai pas."

Dylan se leva et se courba par respect pour le noble, vit le faucon se poser sur son épaule puis partit de son côté se promener un instant, explorant les alentours, enregistrant chaque détails dans sa tête pour retenir l'endroit, ses couloirs et pour pouvoir facilement se retrouver ici. J'étais aussi à la recherche d'indice sur ce qu'il s'était passé ici, après tout nous n'étions même pas au courant de ou avait été fait l'enlèvement. Il jeta un oeil au noble oiseau posé sur son épaule, malgré qu'il soit somnolent sa force et sa présence se faisait ressentir sur l'épaule de Dylan, comme si celui ci était imperturbable .

Le calme se fait peu à peu dans la demeure les domestiques se font de plus en plus rare au fur et à mesure de ton exploration et tu commence à te dire que tu ne trouvera rien ce soir quand au loin tu vois une unique lumiére , le reste de la demeure étant quasiment plongé dans le noir , provenant d'une chambre entreouverte ....

La curiosité l'emporta, je ne pouvais pas laisser ce mystère passer sous mes yeux, il se pouvait que ce soit quelque chose d'important. Oui je sais la curiosité était une sensation qui pouvait mener au danger, mais on ne vie pas cette vie quand on a peur du danger, au contraire on la cherche pour devenir plus fort. J'approchai à pas de chat, jetant un œil à mon ami le Faucon, jusqu'à être arrivé à la porte, étant entrouverte j'en pour regarder l'intérieur dans la plus grande des discrétions.

C'est alors que Dylan , et potentiellement le faucon , furent étonné de découvrir une chambre en dsordre , des meubles couché au sol et surtout cette odeur ... cette odeur de sang . en observant un peu mieux la chambre Dylan put comprendre qu'il y avait du avoir une bagarre dans cette chambre et quelque chose avait du exploser ou au moins bruler à la vue d'un des murs. Dylan put remarquer que la fenetre était ouverte et qu'un cadavre à moitié brulé reposait prés du lit , ainsi qu'une lettre dans sa main .
Cependant vous pouvez entendre des bruits de pas provenant du couloir.
Init libre.

Le faucon prend son envole et, a toute vitesse, vus que c'est putin de rapide un faucon, il se dirige vers les bruits, serres prete.

Je jetai un oeil au faucon, le voyant partir seul, me laissant seul face à un dilemme difficile. Le temps me parut ralentit l'espace d'un moment, me permettant de réfléchir sur la meilleur décision à prendre. Je pouvais rejoindre le faucon, affronter ceux qui arrivait ou les rejoindre, prendre des risques d'être sous l'emprise des personnes qui allaient venir. Je pouvais très bien être prit pour le responsable, que ce soit un complot, ou me faire tuer pour avoir été témoin de quelque chose que je n'aurais pas du. Mon autre choix...? Tenter de m'enfermer dans la chambre et réfléchir à un moyen de m'échapper, le problème était que je ne connaissais pas cette partie de la demeure, cela voudrait dire que j'allais non seulement devoir improviser... Mais surtout devoir remettre ma vie entre dame chance. Quoi qu'il en devait être je risquai beaucoup à ce petit jeux. Je fermai les yeux un instant, avec une respiration lente je réfléchissais rapidement à la meilleure solution. Le temps revint à la normale pour moi et j'ouvrit les yeux, prêt à faire mon choix. Les deux auraient put être possible, presque pareil si un détail ne faisais pas toute la différence. Je me suis dirigé vers l'intérieur de la chambre, adressant un dernier regard et une dernière parole au Faucon.


Dylan : "Gagne du temps si tu peux... Mais surtout ne meurt pas..."

Un sourire se dessina sur mon visage, c'était juste un animal, un noble animal mais un animal tout de même, et je venais de lui parler comme si c'était un humain. Fermant la porte derrière moi et cherchant un moyen de bloquer cette porte pour gagner du temps je me suis mit à lâcher un rire nerveux. J'allais peut être mourir ici, et le dernier être à qui j'ai pu parler et faire mes adieux était un faucon, c'est une représentation assez amusante de mes relations dans ce groupe. Maintenant... Ce détail qui fut déterminant pour mon choix, cette lettre que j'avais aperçu, je ne pouvais pas laisser cet indice disparaître, ne pouvant pas reconnaître le corps de la victime vu son état c'était notre seul chance de faire face à la vérité. Je la prit en main et me dirigea vers une fenêtre de la chambre, essayant de me souvenir une magie capable de m'aider. Je pouvais surement contrôler le vent et faire voler la lettre jusqu'à un lieu précis mais ce ne serais pas si simple... Et puis ou est ce que pourrais l'envoyer...? Je ne savais pas ou dormais les autres, alors il ne me restait plus qu'une seule chose à faire, l'envoyer dans ma chambre à travers la fenêtre ou était entré le faucon.

Mon sens de l'orientation me permettait de savoir ou j'étais à peu près situé et ou pouvait se trouver ma chambre. J'incanta ma magie, me concentrant sur le vent et commençai à faire voler la lettre en m'aidant de mes yeux et de l'image de la demeure que je formais dans mon esprit. C'était une épreuve difficile, faire voler une lettre n'aurait pas du être si dur pour un bon mage, mais dans mon cas c'était différent, ne contrôlant pas parfaitement ma magie et sous la pression ce petit tour devenait de suite plus ardu. Après avoir terminé avec ma magie de vent il me restait encore à trouver une solution pour m'en sortir sans être vu. Je regrettai ne pas avoir apprit plus la magie auprès d'Aaron, il m'aurait peut être enseigner un sort d'illusion, invisibilité, berner les autres. J'avais deux solutions, me planquer ou m'enfuir en grimpant. Malgré mon agilité il serait tout de même difficile de trouver les bon appuis pour grimper et éviter de mourir. La aussi je pourrais m'aider de ma magie mais combiner force et concentration magique était non seulement difficile mais épuisant. J'allais devoir tout donner sur cet épreuve. Je prit une grande inspiration et chercha si il y n'y avait pas des appuis ou grimper sur le mur extérieur.

Le faucon prit son envol pour sortir de la chambre et fut accueilli par une petite voix : "Papa ! Papa tu a vu ? C'est un faucon amurensis pas vrai ? "
Une voix masculine plus grave mais quand même fluette (on parle d'elfe je rappelle): "Hum à la vue de ses plumes je dirais plus un falco columbarius tu ne crois pas ? "
Le faucon put distinguer une fillette très jeune la montrait du doigts tandis qu'un homme ,surement on père se trouvait à ses côtés , il porte tout deux des habits marron verts foncé et ne semble pas richement vêtus.
La fillette semblait impressionner par le faucon : "Dit Papa on peut le garder ? "
Le pére lui répondit : "Allons chéri les animaux sont fait pour être libres , tout comme les elfes, notre famille et les Loir se sont toujours accordés sur ce point et puis tu ne le trouve pas plus beau lorsqu'il vole libbrement ? "
La petite fille acquiesça et semblait songeuse.
Init libre , le faucon est devant les deux personnes et Dylan est toujours dans la chambre qu'ils ne semblent pas les intérréssé plus que cela.

Le faucon arrive a toute vitesse, toute serres dehors.
Sans ralentir, il prend conscience de la situation, avant de foncer vers a jeune fille, en poussant un cri aiguë.
Mais, avant de rentrer en contacte avec la jeune fille, il vire sur la droite, pour perdre de la vitesse, avant de se poser sur l'épaule de la fille, en faisant attention de ne pas la blesser.
Il pousse un petit cri et comment a lui donner de léger coup de bec sur la joue.

La petite cria de surprise mais le pére s'interposa et mis son bras avant que le faucon se pose sur sa fille , il se retrouva donc sur le bras de l'homme : "La ...Du calme tu es en sécurité "
init libre faucon /Dylan (qui n'est toujours pas spotted )

Pendant ce temps la Nastraelle regarda Lupusregina : "Et si on allait profiter de la nuit ? J'aime pas vraiment ce genre d'endroit .."
Il prit la main de Lupusregina en disant cela.

Le faucon pousse un cri désappointer. Il voulais aller sur l'épaule de la petite fille mais bon... Il faut faire avec.

Il sautille jusqu’à se retrouver sur l'épaule du père avant d'attraper son oreille, délicatement, sans trop serrer. Puis il tire un coup, doucement, dans la direction opposer a la chambre, comme si il voulais que les deux personne le suives, comme si il voulait leurs montrer quelque chose.